Ingrid Schubert
Cet article est une ébauche concernant une femme politique allemande.
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| Naissance | |
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| Décès | |
| Nom dans la langue maternelle |
Ingrid Eva Schubert |
| Pseudonyme |
Nina |
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| Père |
| Membre de |
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Ingrid Schubert, née le à Ebern et décédée le à Munich, était membre de la première génération de la Fraction armée rouge.
Biographie[modifier | modifier le code]
Après avoir appartenu à la première formation de la Fraction armée rouge, elle prend part, le , avec Ulrike Meinhof et l'avocat Horst Mahler, à l'évasion d'Andreas Baader à Berlin. Le , elle est arrêtée avec Brigitte Asdonk, Horst Mahler, Irene Goergens et Monika Berberich, ils sont tous ensuite placés en isolement total. Condamnée en 1974 à une peine de quatorze ans d'emprisonnement à la prison de Stammheim, elle est transférée en 1976 à la prison de Stadelheim de Munich, où elle est trouvée pendue dans sa cellule ; l'autopsie conclut au suicide[1].
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Stefan Aust, Der Baader-Meinhof-Komplex, Hoffmann & Campe, Hambourg 2005, (ISBN 3-455-09516-X)
- Wolfgang Kraushaar (dir), Die RAF und der linke Terrorismus, Edition Hamburg, Hambourg 2006, (ISBN 3-936096-65-1)
- Butz Peters, RAF – Terrorismus in Deutschland. Droemer Knaur, Munich 1993, (ISBN 3-426-80019-5)
- Butz Peters, Tödlicher Irrtum. Die Geschichte der RAF, Argon-Verlag, Berlin 2004, (ISBN 3-87024-673-1)
Notes et références[modifier | modifier le code]
- J. W., « Le suicide d'Ingrid Schubert soulève peu d'émotion », Le Monde, (lire en ligne
, consulté le ).
